rénovation des combles d’une maison des années 1930
Rénovation d'un appartement à Strasbourg
Une référence de maxime pauzon, marion filliatre du cabinet pauzon filliatre architectes, Cabinet d'Architecte CNOA à Paris, Lyon, Veauche, Strasbourg, Saint-Étienne et alentours.
Présentation par l'architecte, pauzon filliatre architectes
Au cœur du quartier de Cronenbourg, cette maison strasbourgeoise des années 1930 s’inscrit dans le caractère homogène du bâti environnant. Façade à l’alignement, jardin en cœur d’îlot, murs de briques enduites, chiens assis de petites tailles et toits à pente importante. Si l’ancien comble, atelier de couture, doit être aménagé en étage habitable, sa géométrie interpelle. Le toit volumineux mais pentu de la maison permet de caractériser 4 ambiances distinctes. Si la pièce isolée en mezzanine...
Vous souhaitez réaliser un projet similaire ?
Caractéristiques
Intervention Bâtiment Appartement Client Particuliers Budget tout compris Entre 55 et 100 000 € TTC Rôle de l'architecte Mission complète, de la conception à la fin du chantier Lieu StrasbourgEt vous, quel est votre projet ?
Besoin d'inspiration ?
Nos dizaines d’architectes partenaires sont sélectionnés pour la qualité de leur travail, en conception et en maîtrise d'œuvre, et interviennent sur tous types de projets.
Découvrez plus de projets de rénovation d'appartements autour de Strasbourg
Découvrez des agences similaires à pauzon filliatre architectes
Démarrons ensemble votre projet
Nous serions ravis de vous accompagner dans votre futur projet d’architecture.
Nos premiers échanges sont gratuits, cela va de soi.
Quelques projets d’architecture passés par Archibien
Ils sont passés par Archibien. Comme eux, réalisez le projet dont vous rêvez, mais en mieux.
“Archibien propose une démarche qui apporte beaucoup de sens et de valeur ajoutée pour choisir un architecte.”Laurent Morvant
“Cette équipe a un excellent sens du service.”Catherine Doucet
“La valeur ajoutée par le service Archibien est réelle et justifie amplement d'y investir quelques centaines d’euros.”Mathilde Vandewalle